NEGOCIATIONS SALARIALES (3)

La CGT SOPRA STERIA intervient dans le débat:

Le salaire ce n’est pas un objet anodin. Le salaire est vital pour les salarié-e-s. Pour un certain nombre c’est un élement de survie.

Les augmentations collectives doivent traduire que la création de richesses ce sont bien les salarié-e-s qui en sont à l’origine.

Il est proprement scandaleux que l’écart entre la rémunération annuelle du PDG (plus de 700 000€) et celle des plus bas salaires (18000 €) soit de 1 à 40! Quelles sont les richesses réellement produites par les dirigeants de l’entreprise et les actionnaires?!

La délégation patronale vient en réunion en sachant qu’elle ne lâchera rien et qu’elle s’oblige à « écouter » les délégations syndicales. D’autant plus que les augmentations individuelles « à la gueule » (pour celles et ceux qui en ont vu la couleur) ont déjà été faites en janvier.

Donc il n’y a rien à négocier.

En fait les patrons partagent le même concept que les organisations syndicales: RAPPORT DE FORCE.

Ils considèrent aujourd’hui que celui-ci n’est pas en faveur des salarié-e-s eu égard à l’absence de mobilisation aujourd’hui des salarié-e-s. Ils avancent comme un rouleau compresseur.

La CGT SOPRA STERIA continuera  inlassablement pour construire  un rapport de force en faveur des salarié-e-s, seule condition pour obtenir satisfaction.

Il est révélateur de constater que le critère « A TRAVAIL DE VALEUR EGALE, SALAIRE EGAL » ne fait pas partie des principes énoncés par la Direction.

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